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Dans la lumière on y touche

2 flûtistes dont 1(e) piccoliste et leurs micros cravates ; 6, trois fois deux, saxophonistes en pagaille et de plusieurs tailles ; 1 sousaphoniste et sa cravate ; 1 batteuriste implacable ; 3 trombonistes avec leur sourdine dont 1 basse ; 3 trompettistes/buglistes/mellophonistes/euphoniumistes selon l’humeur ; 1 guitariste et ses pédales à tout faire.

Quand dans l’ombre on y voit

Des génies du son, de l’éclairement et de la caisse en bois, qui embrassent les destinées de l’orchestre en matière de décibels, de lux et de caisse en bois ; 1(e) graphiste, qui réfléchit, et trace sur le papier des images à projeter ce groupe dans un avenir proche : 1 pôle admin/diffusion/production, soit plein de gens qui font pleuvoir les croissants au petit-déjeuner.

L’orchestre est un collectif. Nos fonctionnements, artistiques comme organisationnels, tendent à l’horizontalité.

La Musique

Compositions originales des membres du groupe, le répertoire pêlemêle thèmes limpides tordus savants, jazz de tous bords, musiques populaires à trois et quatre temps trois mouvements, fadaises à danser, écriture serrée façon big band… Chaque proposition ouverte aux quatre vents de l’improvisation.

Depuis son an I, le groupe prône une utilisation ludique de l’improvisation collective dirigée, ou sound painting. Elaboré en commun sur la base des recherches de Walter Thompson [1], ce langage gestuel permet à chaque musicien, sortant du rang, de guider momentanément l’orchestre, ouvrir une vaste brèche où laisser s’engouffrer collectivement l’inconnu ou, subrepticement, ponctuer d’un clou le chemin musical.
Si ces interventions permettent de moduler le répertoire écrit existant, elles conduisent aussi à l’invention, sur le vif, d’une musique orchestrale libre et instantanée, toujours neuve et évolutive.

[1] Musicien américain qui développe depuis une trentaine d’années un langage d’improvisation dirigée par signe appelé sound painting. Par son principe simple, ce système, large et cohérent s’applique à des musiciens aussi bien qu’à des danseurs, des comédiens… Pour en savoir plus : http://soundpainting.com/french/wal…

Les équipiers

Ils sont nombreux…

À l’orchestre actuellement :

Léa Ciechelski (flûtes, sax alto et soprano), Clea Torales (flûte, sax alto), Martin Daguerre (sax alto et sopranino, guitare), Camille Secheppet (sax alto, clarinette), Jeannot Salvatori (sax alto et baryton), Guillaume Christophel (sax ténor, clarinette), Nicolas Stephan (sax ténor), Fabrice Theuillon (sax alto et baryton), Guillaume Dutrieux (trompette, bugle, piccolo), Julien Rousseau (trompette, bugle, euphonium), François Roche-Juarez (trombone, guitare), Hanno Baumfelder (trombone), Bertrand Landhauser (trombone), Basile Naudet (guitare), Fabien Debellefontaine (sousaphone), Ianik Tallet (batterie), Zak Cammoun, Rose Bruneau, Manu Martin & Geoffrey Durcak (son), Anne Palomeres (danse, lumières) & Jacques-Benoît Dardant (lumières), Jérôme Bertin (régie générale), Nicolas Legendre (direction technique cirque), Christine Nissim (administration), Thomas Gold (production), Roselyne Burger (diffusion cirque), Valentin Calori (diffusion orchestre), Caroline Pageaud (illustration/graphisme)

Avant, après, parfois, selon (une longue histoire !)…

Arthur Alard (percussions), Benoît Alziary (d.a.), Jérôme Ballero (sousaphone), Antoine Berjeaut (trompette, bugle), Antoine Berland (claviers) Baptiste Bouquin (sax alto, clarinette), Boris Boublil (claviers, guitare), Philippe Bouttier (régie générale), Sébastien Brun (batterie), Solenne Capmas (costumes), Morgane Carnet (sax baryton, ténor), Manu Céalis (lumières), Catherine Cristofari (communication), Marielle Chatain (sax baryton, effets), Marc Chonier (attaché de presse), Damien Christéa (lumières), Philippe Cortez (trombone), Julien Couzy (production-diffusion), Pierre Déaux (trombone), Guillaume De la Villéon (son), Cristobal Diaz (percussions), Naïé Dutrieux (flüte), Jean-Philippe Feiss (violoncelle), Robin Fincker (sax ténor), Nicolas Flesch (textes, voix), Fidel Fourneyron (tuba basse, trombone), Alain Français (son), Laurent Géhant (sousaphone), Benoît Gilg (son), Théo Girard (basse), Giovanni Hector (trombone), Sylvaine Hélary (flûte), Yann Jankielewicz (trombone), Arnaud Laprêt (percussions), Shan Lefrant (sousaphone), Izidor Leitinger (trompette), Sylvain Lemêtre (percussions), Agnès Lété (administration), Gabriel Levasseur (trompette), Camille Lévêque (diffusion), Antonin Leymarie (batterie), Hansen Limtung (sax alto), Guillaume Magne (guitare), Gaspard Manesse (trompette), Hugues Mayot (sax ténor), Sylvain Mazens (trombone), Fanny Ménégoz (flûtes, voix), Pierre Millet (trompette), Jean-Pascal Molina (batterie), Stéphane Montigny (trombone), Julien Omé (guitare), Csaba Palotaï (guitare), Françoise Pelherbe (flûte, voix), Emmanuel Penfeunteun (batterie), Brice Perda (sousaphone), Katia Petrowick (danse, chorégraphie), Brice Pichard (trompette), Yann Priest (trompette), Raphaël Quenehen (sax alto), Timothée Quost (trompette), Jean-François Riffaut (guitare, claviers), Marie-Edith Roussillon (production/diffusion), Elizabeth Saint-Jalmes (scénographie), Jérôme Sautton (flûte), Camille Sauvage (graphisme), Thomas Sisqueille (batterie, percussions), Sylvain Tamalet (sax baryton), Jérôme Tisserand (diffusion), Maxence Tual (comédien), Corentin Vigot (son), Claire Van Waerbeke (flûte) & Judith Wekstein (trombone basse)